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19962006. Voitures les plus moches : voici la liste non exhaustive et subjective des pires modĂšles de la planĂšte. Fiat Multipla, Renault Fuego, Nissan S-Cargo. Tour dâhorizon. Voitures les
Le Deal du moment Cartes PokĂ©mon oĂč commander le coffret ... Voir le deal ⏠Felix Felicis Administration RPs saison 3 AuteurMessageMary Jane Cromwell......BlablaDate d'inscription 15/06/2008Nombre de messages 526Pseudo 29CrĂ©dit Avatar holdin' out for a hero...Sujet cromwell ft. dana { Poison Prince Sam 27 DĂ©c - 153 DĂ©couvrez Amy Macdonald!"Rose rose rose. J'en ai ma claque du rose. Pourquoi j'trouve pas un seul vĂȘtement, je sais pas moi, jaune canari? Jaune canari ça serait sympa tiens. Avec des p'tits noeuds blancs et des rubans dans les ch'veux, oh oui..."Se parlant Ă voix haute, Mary Jane ne prĂȘtait aucune attention aux autres jeunes filles qui, comme tout les matins, venaient assister Ă ses prĂ©paratifs, ravies du spectacle. En effet, depuis quelques temps, Mary Jane se voyait entourĂ©e dĂšs son rĂ©veil, sans avoir rien demandĂ©. MalgrĂ© leurs rires Ă©touffĂ©s, elle ne s'en formalisait pas Louis XIV avait Ă©galement eut le droit Ă ce public matinal, n'est-ce pas? Alors pourquoi pas. Encore vĂȘtue de son joli pyjama gris et bleu, elle se penchait dans l'Ă©norme malle qui contenait ses affaires, envoyant culottes, bas, chaussettes, pantalons et jupes valser au travers de la piĂšce, au grand dam de celles qui les recevaient sur leurs tĂȘtes - et par consĂ©quent Ă l'hilaritĂ© gĂ©nĂ©rale. Autour d'elle, une demie-douzaine de filles s'Ă©taient amassĂ©es, assises en demi-cercle autour du lit de la jeune Cromwell. En tailleur, Ă genoux, appuyĂ©es contre le mur ou Ă©talĂ©es tout de long sur les matelas avoisinants, ces femmes formaient son public impromptu. Elle en reconnaissait certaines, leur adressant mĂȘme un signe de tĂȘte ou un sourire, mais d'autres lui Ă©taient totalement inconnues. Seul point commun toutes Ă©taient des Veela. De toutes nationalitĂ©s et de tous les Ăąges, elles venaient ici rire un peu, oublier un instant le malheur si proche. De la plus jeune - une petite corĂ©enne dont les yeux reflĂ©taient tout l'horreur d'une innocence brisĂ©e - Ă la plus vieille - une femme dans la cinquantaine qui berçait doucement son bĂ©bĂ© sauvĂ© des flammes - toutes avaient ce regard hantĂ© des rĂ©fugiĂ©es de Poudlard. Sans doute Mary Jane mettait-elle un peu de gaietĂ© dans leurs vies. VoilĂ pourquoi elle ne les chassait pas, mais choisissait de continuer Ă marmonner toute seule, se dĂ©plaçant pieds nus sur le sol froid et dur. Elle avait choisi comme couchette un joli lit Ă baldaquin dont le beau bois d'Ă©bĂšne s'accordait avec des draperies de la couleur des bleuets, ces derniĂšres elles-mĂȘmes assorties aux draps. Le lit Ă©tait dĂ©jĂ fait, et sur les oreillers trĂŽnait un ours en peluche couleur crĂšme nommĂ© Jim, Mary Jane l'avait reçu pour ses cinq ans de la part de sa mĂšre, et elle ne s'en Ă©tait jamais sĂ©parĂ©e depuis, comme le tĂ©moignait l'usure de la brave bĂȘte. Un de ses bras avait Ă©tĂ© recousu avec du fil brun, les poils de sa fourrure n'Ă©tait plus que l'ombre de ce qu'ils Ă©taient autrefois, et la peinture des yeux s'Ă©tait Ă©caillĂ©e. Cependant, la jeune loup-garou l'aimait comme au premier jour. Petite, elle le traĂźnait partout derriĂšre elle, l'accrochant dans les branches de son chĂȘne ou le posant sur la chaise Ă cĂŽtĂ© d'elle Ă table. Son compagnon insĂ©parable, il lui Ă©tait pratiquement impossible de se rappeler un temps de son enfance oĂč il n'avait pas Ă©tĂ© Ă portĂ©e de main. Jim avait Ă©tĂ© son premier ami - et son seul ami Ă l'Ă©poque, car il Ă©tait arrivĂ© bien avant Prue. DĂ©sormais, Mary Jane n'en avait plus besoin mais trouvait qu'il faisait joli comme dĂ©coration sur son lit, une espĂšce de chien Ă©ternellement fidĂšle qu'on n'aurait besoin ni de nourrir ni de dresser. Mais malgrĂ© cet amour inexprimable qu'elle lui vouait, elle n'avait pas Ă©tĂ© gĂȘnĂ©e de lui envoyer une paire de collants Ă la tĂȘte, trĂšs gracieusement accompagnĂ©e d'un juron. A demie tombĂ©e dans sa malle, les bras de la jeune fille aux yeux de louve s'agitaient, accompagnĂ©s du froissement des tissus et du tintement des boutons contre le bois, cherchant quelque objet connu d'elle seule. DĂ©jĂ , elle s'Ă©tait dĂ©barrassĂ©e de ses pyjamas pour enfiler une robe non pas jaune canari mais bleu ni royal ni cobalt, plutĂŽt couleur du ciel, ainsi qu'une paire de chaussettes blanches montantes, et de chaussures vernies noires. Son visage dĂ©jĂ maquillĂ© Ă©tait encadrĂ© de deux couettes basses rattachĂ©es avec des rubans blancs Ă pois bleus, et alors que le public enflammĂ© retenait son souffle, elle se tira finalement de sa malle avec un grand"Ahah! Victoire camarades on l'tient!"qui provoqua un Ă©norme accĂšs de rire dans la salle. Mais Mary Jane, le visage radieux, ne prĂȘta pas attention Ă la rĂ©action de son entourage et s'empressa d'enfiler le gilet de laine grise qu'elle venait de dĂ©nicher. Puis, sans attendre une seconde, elle ouvrit grand la porte et quitta la salle, non sans se retourner une derniĂšre fois vers les filles prĂ©sentes pour lancer les recommandations suivantes"Faites attention Ă l'ours, il mord."Et sur ce, elle Ă©tait partie, ne prenant pas la peine de connaĂźtre la rĂ©action de ses camarades. Passant rapidement par la Grande Salle pour attraper deux tartines et une tasse de thĂ© noir, la jeune fille dĂ©ambulant tranquillement dans les couloirs pendant plus d'une heure, sirotant sa boisson trĂšs tranquillement. Finalement, elle s'arrĂȘta devant la porte de la salle de classe abandonnĂ©e, l'un de ses lieux prĂ©fĂ©rĂ©s. Elle poussa tranquillement la porte de cette salle avant de se rendre compte qu'un homme y Ă©tait dĂ©jĂ prĂ©sent."Oh, Dana." Dana Mugen Van Uta......BlablaDate d'inscription 23/09/2007Nombre de messages 818Pseudo PoufsouffleSujet Re cromwell ft. dana { Poison Prince Dim 28 DĂ©c - 320 "Oh, Dana."Pas de rĂ©ponse, juste une boule de mĂ©tal fonçant sur elle, puis une ombre sortant de nul part et un bruit. Quelque chose qui craque sous un impact et se brise...Cela faisait environs deux bonnes heures que Dana s'Ă©tait enfermĂ© dans cette salle de classe dont personne ne se servait. Il pensait que lĂ , il aurait put ĂȘtre un brin tranquille, surtout en ces heures matinales, pour pouvoir s'entrainer. Avec lui, il avait emportĂ© une Ă©norme boite mĂ©tallique de forme rectangulaire qu'il tint durant tout le chemin entre sa chambre et la salle avec fermetĂ©. Pas de PutrĂ©faction Ă l'horizon pour une fois. Sachant ce que son maĂźtre avait en tĂȘte, le fĂ©lin avait prĂ©fĂ©rĂ© faire un tour dans la Grande salle pour aller se restaurer, et surtout mettre un souk monstre dĂ©s le matin pour son plus pur et simple plaisir. Une fois dans la salle de classe, Dana mit le loquet pour empĂȘcher toutes intrusions normalement, puis il retira son haut, qu'il plia avec dĂ©licatesse et qu'il alla poser dans un meuble au hasard. Il y mit aussi ses chaussures et ses chaussettes, se retrouvant en pantalon et en dĂ©bardeur ainsi. Ensuite, il revint prĂšs de l'imposante boite rectangulaire, observa cette derniĂšre et l'ouvrit doucement. Son regard malicieux, vu qu'il Ă©tait seul il pouvait bien se le permettre, se posa sur deux Cognards qui Ă©taient attachĂ©s dans la caisse. Entre les deux Cognards Ă©taient posĂ©s deux battes. Un lĂ©ger sourire apparut sur le visage du jeune homme, qui libĂ©ra les Cognards, sans se saisirent ne serait ce que d'une batte. Comme prĂ©vu, les sphĂšres volantes frappaient tout ce qui se trouvaient sur leurs passages et tentaient de percuter Dana, mais celui ci,avec une grande agilitĂ© et une concentration Ă son paroxysme les esquivait. C'Ă©tait de cette façon qu'il avait fait mĂ»rir son jeu, qui lui permit de devenir professionnel en ce jour. Il n'attaquait plus le Cognard comme une mule. A prĂ©sent, il cherchait Ă en lire la trajectoire pour mieux les esquiver mais aussi pour mieux les renvoyer. Ce type d'entrainement lui valut beaucoup de blessures, plus ou moins grave, mais en ce jour, il avait beaucoup plus d'expĂ©rience donc la sĂ©ance se passait beaucoup mieux qu'auparavant. Combien de chances y avait il pour qu'un Cognard ne percute le loquet, le brisant et laissant la porte fermĂ© mais l'accĂšs de la salle libre ? Et surtout, combien y avait il de chance que quelqu'un ne vienne ? Lorsque le japonais entendit la voix de Mary Jane, il ne prit pas le temps de rĂ©flĂ©chir et fit un bond pour se mettre entre le Cognard qui fonçait sur la demoiselle et celle ci. Heureusement que par rĂ©flexe, il mit son avant bras devant lui, sinon il Ă©tait clair et net qu'il se serait retrouvĂ© avec quelques cĂŽtes brisĂ©s. Mais malheureusement son avant bras ne supporta pas le trop gros choc provoquĂ© par le Cognard et cĂ©da presque aussitĂŽt, provoquant une vive douleur chez le jeune homme. L'entrainement ayant Ă©chauffĂ© le sang de ce dernier, anesthĂ©sia lĂ©gĂšrement la douleur. Juste assez pour que Dana, qui s'Ă©tait Ă©talĂ© suite Ă son bond, se relĂšve de suite pour saisir de sa main valide Mary Jane et la fit se mettre Ă terre avec force et sans mĂ©nagement. D'un rapide coup de pied, il referma la porte et se mit Ă courir vers le meuble dans lequel il avait mis ses affaires, tout en esquivant les Cognards. Il devait se concentrer encore plus, vu que la douleur le troublait un peu, mais bon. Voyant qu'il n'aurait pas le temps d'atteindre le meuble et d'en ouvrir la porte,surtout avec une main, en chemin il se saisit d'une batte dans la boite rectangulaire qui Ă©tait toujours ouverte, vu qu'il n'avait pas eu le temps de la fermer et il fit l'une des choses qu'il savait le mieux faire battre. Pas le temps de rĂ©flĂ©chir aux consĂ©quences, en deux coups de battes il envoya les deux Cognards par la fenĂȘtre, la brisant au passage. Ensuite les deux jeunes purent entendre un vent de panique dans le parc de Poudlard, mais Dana leva simplement les Ă©paules, comme si cela n'avait aucune importance et se dit qu'il irait les chercher plus tard. Pendant que des cris de toutes sortes, provenaient d'en dehors, Mugen se dirigea vers la Veela, avec un regard vide."La prochaine fois, je les laisse te briser le crĂąne... "Suite Ă ces doux mots, il remit la batte dans sa caisse en secouant la tĂȘte nĂ©gativement; Ben ouais, il n'Ă©tait pas content l'asiatique car Ă cause de l'intrusion de la demoiselle, son entrainement Ă tout d'abord Ă©tĂ© perturbĂ© puis ensuite interrompu. Ce n'Ă©tait pas le fait d'avoir un bras en moins, ce qui lui faisait extrĂȘmement mal lĂ , qui le rendait comme ça. Juste les raisons citĂ©s prĂ©cĂ©demment. Enfin au dĂ©part car lentement l'adrĂ©naline retombait et la douleur s'intensifiait. Pourtant, de cette douleur, il n'en laissa rien paraĂźtre. Il se contenta d'observer l'endroit oĂč il avait mal. Le Cognard avait frappĂ© avec une telle force qu'il lui provoqua une fracture ouverte et que tout autour la chair Ă©tait dĂ©jĂ d'une couleur violette, tirant vers le noire. LĂ , il avait une mĂ©chante envie de se jeter sur Mary Jane et de la dĂ©fenestrer, mais lorsqu'il posa son regard sur elle, ce n'Ă©tait pas exactement ça qui sortit de ses lĂšvres."T'es ok ? "Il avait beau pensĂ© Ă mal et lui avoir dit qu'il la laisserait crevĂ© la prochaine fois, il n'empĂȘche qu'il n'avait pas hĂ©sitĂ© Ă faire barriĂšre avec son corps pour la protĂ©ger... MĂȘme si il semblait toujours en colĂšre, il ne regrettait pas, car il avait fait ce qu'il fallait faire...MĂȘme si il avait envie de reprendre la batte pour mettre un bon coup dans la face de la Veela. Mary Jane Cromwell......BlablaDate d'inscription 15/06/2008Nombre de messages 526Pseudo 29CrĂ©dit Avatar holdin' out for a hero...Sujet Re cromwell ft. dana { Poison Prince Dim 28 DĂ©c - 2055 Il suffit dâun regard jetĂ© dans la salle pour que Mary Jane sâaperçoive quâelle nâĂ©tait pas arrivĂ©e au meilleur moment. Le plĂątre des murs semblait avoir Ă©tĂ© martelĂ© avec un gourdin de fer tant les dĂ©bris en jonchaient le sol, et les quelques tables non-bancales ne lâĂ©taient dĂ©sormais plus, sâĂ©talant sur le sol avec toute la grĂące dâun cheval mort sur le champ de bataille. A ses pieds, un locquet dĂ©truit, mis en piĂšces par une force inimaginable. Que sâĂ©tait-il donc passĂ© ici ? Une attaque ? Poudlard envahi ? Les Moldus avaient-ils rĂ©ussi Ă bombarder le chĂąteau ? Devait-elle prĂ©venir Gillian ? Pendant un instant, Mary Jane sâattendit Ă voir des hommes armĂ©s sortir de partout. Mais non, rien de tout cela nâĂ©tait rĂ©el en tournant le regard elle aperçut, sur la derniĂšre table, une boĂźte grande ouverte, et au milieu de ce capharnaĂŒm, Dana Mugen Van que si elle avait fait un peu moins attention aux mouvements du jeune homme et un peu plus attention Ă son entourage, elle aurait vu le Cognard qui fusait droit vers elle. Peut-ĂȘtre quâelle aurait pu tirer sa baguette et lancer un Protego, au lieu de lâapercevoir du coin de lâĆil, au dernier moment. Sans doute. Mais ce qui arriva fut bien diffĂ©rent un instant elle observait avec son dĂ©tachement particulier face aux grands dangers le boule de mĂ©tal dĂ©cidĂ©e Ă la tuer, la seconde dâaprĂšs la voilĂ hors de danger, un Dana ensanglantĂ© devant elle. Avant de pouvoir faire le lien entre ces deux Ă©vĂ©nements, elle se fit plaquer au sol avec violence, mais eu lâesprit de ne pas se redresser, un rĂ©flexe qui lui aurait coĂ»tĂ© cher. Au lieu de cela, elle observa Dana du coin de lâĆil, admirant intĂ©rieurement la facilitĂ© avec laquelle il semblait Ă©viter les balles meurtriĂšres. Peu Ă©tonnant quâil soit devenu un joueur de Quidditch hors-pair. Finalement, avec un coup qui sembla rĂ©sonner dans toute la salle, elle vit les deux Cognards passer la fenĂȘtre. Elle retint une exclamation, et observa lâasiatique ranger ses battes, peu concernĂ©e du sort des malheureuses victimes des Cognards quâelle joignait ses mains sous le menton, Dana se tourna vers elle pour la regarder de ses yeux vides, lançant nĂ©gligemment une de ses menaces. Lui casser la tĂȘte ? En recevant un tel coup, elle terminerait dĂ©figurĂ©e Ă vie â Ă moins dâinterminables opĂ©rations, qui ne risquaient pas dâĂȘtre possibles en temps de guerre. Une victime de Cognard perdrait toute beautĂ© aprĂšs un accident pareil. A cette idĂ©e, Mary Jane ne pu sâempĂȘcher de rĂ©pondre Oh, câest donc eux qui tâont rĂ©arrangĂ© le portrait ? Je me demandais aussi dâoĂč te venait une telle tĂȘte. »Et sur son visage se dessina un sourire feignant lâinnocence tandis que la belle enfant levait ses grands yeux vers son sauveur. Bon, ce nâĂ©tait pas trĂšs gentil de sa part de se moquer dâun homme qui venait de se briser le bras pour elle, mais câĂ©tait leur petit jeu depuis un bout de temps. Le jeu du Je tâaime, moi non plus », une activitĂ© Ă laquelle de nombreux jeunes â et mĂȘmes anciens â sâadonnaient avec beaucoup de plaisir. Certains cherchaient Ă se prouver leur affection par des compliments copieux et des surnoms affectueux tels que chĂ©ri », mon amour », mon cĆur », ma douce », mon lapin », ma biche » et jâen passe et des meilleurs. Dâautres, au contraire avaient choisi la voie opposĂ©e et se plaisaient Ă Ă©laborer des insultes plus recherchĂ©es les unes que les autres, en montrant tout autant â et peut-ĂȘtre mĂȘme davantage â dâaffection pour lâautre. CâĂ©tait le cas de Dana et Mary Jane Ă la surface, une hostilitĂ© apparente, qui ponctuait leurs discussions dâinjures et sarcasmes piquants, ils avaient au fond une grande affection lâun pour lâautre. Etonnant, venant de ces deux ĂȘtres ? Dana nâavait pas forcĂ©ment la meilleure des rĂ©putations, il Ă©tait vrai. Mais jusquâĂ prĂ©sent, il nâavait pas encore tentĂ© de torturer Mary Jane â malgrĂ© lâenvie qui le dĂ©mangeait sans doute Ă lâinstant. Et pourtant, elle nâavait aucunement peur. Il y en avait qui diraient quâelle lui faisait bien trop confiance, mais elle se sentait en sĂ©curitĂ©. La preuve le Cognard avait foncĂ© droit sur elle et avant quâil nâait pu lâeffleurĂ© elle avait Ă©tĂ© protĂ©gĂ©e par le bel asiatique. Bel ? Oui, car malgrĂ© les propos tenus prĂ©cĂ©demment, elle trouvait le businessman tout Ă fait convenable, physiquement de gentleman, et comportement identique, puisquâil prenait la peine de sâenquĂ©rir de sa santĂ©. Elle acquiesça dâun trĂšs lĂ©ger signe de tĂȘte, avant de froncer les sourcils. Câest Ă toi que je devrais poser la question, Superman. »Un jour, peut-ĂȘtre que Mary Jane arrĂȘterait de dĂ©biter des imbĂ©cilitĂ©s plus vite que la lumiĂšre. Peut-ĂȘtre. En attendant de grandir, elle avait encore le temps dâen sortir quelques belles. Le danger des Cognards dĂ©sormais Ă©cartĂ© â du moins temporairement, elle pu se relever, Ă©poussetant sa robe bleue, penchĂ©e Ă la maniĂšre dâune poupĂ©e. Ses couettes basses tombant autour de ses yeux, il lui fut impossible de voir ce que faisait Dana. Une fois dĂ©barrassĂ©e des derniers Ă©clats de plĂątre, elle se tourna vers le jeune homme, et tira sa baguette dâune poche dissimulĂ©e dans les plis de la robe. Brakium emendo » murmura-t-elle, sa baguette pointĂ©e vers le bras ensanglantĂ© de Dana, rĂ©parant lâos avec autant de talent que le cĂ©lĂšbre Gilderoy Lockhart avait dĂ©truit celui de Saint Potter lors de sa deuxiĂšme annĂ©e dâĂ©tudes. Heureusement, elle Ă©tait tout de mĂȘme plus fine que cet imbĂ©cile aux boucles blondes. Enfin, jusquâĂ preuve du contraire. Episkey. Tu peux le bouger ? » Dana Mugen Van Uta......BlablaDate d'inscription 23/09/2007Nombre de messages 818Pseudo PoufsouffleSujet Re cromwell ft. dana { Poison Prince Lun 29 DĂ©c - 127 Oh, câest donc eux qui tâont rĂ©arrangĂ© le portrait ? Je me demandais aussi dâoĂč te venait une telle tĂȘte. »Et c'est partie ! Les hostilitĂ©s ne faisaient que commencer. Ătait ce vraiment le moment pour cela? Entendant cette rĂ©ponse, l'asiatique ne s'emporta pas pour autant. Oh que non, ça ferait bien trop plaisir Ă Mary Jane. Un simple sourire vint se dessiner sur son visage de façon furtif alors qu'il lui lançait, d'un ton parfaitement naturel, tout en rangeant la batte " Au moins, moi il aura fallut une intervention extĂ©rieur, alors que toi et moi savons tout deux qu'avec un coup de Cognard ou pas dans ta tronche, la diffĂ©rence serait invisible tant la nature ne t'as pas gĂątĂ©e, ma belle ! "C'est suite Ă cela qu'il commença Ă s'emporter intĂ©rieurement et qu'il lui demanda si elle allait bien... Et comme toujours, elle lui rĂ©pondit par une Ă©norme Ăąnerie. Il ne prit mĂȘme pas la peine de rĂ©pondre Ă sa question. Comme si il avait l'habitude de rĂ©pondre à ça. Il se contenta simplement de secouer la tĂȘte nĂ©gativement et de se rediriger une nouvelle fois vers le meuble pour prendre sa baguette pour se soigner, ainsi que ses vĂȘtements, vu qu'il Ă©tait un peu Ă moitiĂ© Ă poil lĂ . Pas que ça le dĂ©rangeait, mais il ne voulait pas qu'on l'emmerde avec des histoires de pĂ©dophilie si quelqu'un d'autre venait Ă entrer et Ă les trouver bon, il n'eut le temps de rien faire que la demoiselle avait dĂ©jĂ lancĂ© un sort pour reconsolider ses os. Suite au second sort jetĂ© par Mary Jane, ainsi qu'Ă sa question, Dana... ouvrit simplement le meuble de sa main avec laquelle il avait tenue sa batte, et prit ses vĂȘtements qu'il enfila rapidement, Ă©vitant de trop bouger le bras auquel il Ă©tait blessĂ©. Une fois le dernier nĆud de lacet fait, il se redressa et observa Mary Jane."Je n'avais pas besoin de ton aide, gamine !"Ben ouais, Dana aurait pu se soigner lui mĂȘme. Le simple fait que la demoiselle l'aide et le soigne eut surtout pour effet de blesser sa fiertĂ©. FiertĂ©, certes mal placĂ© mais qui faisait en grande partie ce que Dana Ă©tait en ce jour. Un Necromancien mal lunĂ©, mais aussi un impitoyable adversaire tant sur un terrain de Quidditch que dans la vie de tout les jours... Mais aussi un ĂȘtre parfaitement incompris, ce qui le rendait encore plus amer. Il ne cherchait pas Ă ĂȘtre comprit non plus, mais juste de la tranquillitĂ©, ce qu'on ne lui laissait guĂšre vu son attitude. Un cercle vicieux entre lui et le monde s'Ă©tait installĂ© et il ne voulait pas en ĂȘtre le perdant. Suite Ă son adorable remerciement, il alla se poser face Ă la fenĂȘtre cassĂ©e pour jeter un coup d'oeil sur l'extĂ©rieur et voir comment se dĂ©brouillaient les autres en bas... Et Ă premiĂšre vue, Dana ne pouvait les trouver encore plus pitoyable qu'Ă l'accoutumĂ©e. Et que ça cris, et que ça gesticule et que ça se planque. Ah! une lueur d'intelligence dans tout ce chaos. Un homme avait alors fait venir son balai Ă lui, grĂące Ă sa baguette magique mais rapidement l'espoir disparut car il se prit le premier Cognard dans l'Ă©paule et le second au niveau du crĂąne, ce qui le fit tomber et l'envoya dans les bras de MorphĂ©e... Et Dana qui secouait simplement la tĂȘte en observant la scĂšne, totalement affligĂ© par le spectacle qu'il voyait. MĂȘme lorsqu'il n'Ă©tait plus Ă©lĂšve en ces murs, il arrivait encore Ă semer une forte pagaille. Avant cela aurait put l'amuser un instant, mais Ă prĂ©sent, mĂȘme pas. Mary Jane Cromwell......BlablaDate d'inscription 15/06/2008Nombre de messages 526Pseudo 29CrĂ©dit Avatar holdin' out for a hero...Sujet Re cromwell ft. dana { Poison Prince Lun 29 DĂ©c - 2004 " Au moins, moi il aura fallut une intervention extĂ©rieur, alors que toi et moi savons tout deux qu'avec un coup de Cognard ou pas dans ta tronche, la diffĂ©rence serait invisible tant la nature ne t'as pas gĂątĂ©e, ma belle ! "Et un point pour Dana. Mary Jane mit ses mains sur les hanches, affichant une mine faussement outragĂ©e. Moche, elle ? Non mais oh ; elle Ă©tait magnifique, tout le monde le savait. Taille de guĂȘpe, yeux lumineux et cheveux soyeux, elle avait un physique de rĂȘve, de dĂ©esse mĂȘme. Ne lâavait-il pas remarquĂ© ? Si, Ă©videmment que si ; elle ne passait pas inaperçu, je vous assure, tout le monde connaissait la magnifique Mary Jane Cromwell. CâĂ©tait la perfection incarnĂ©e. Ironie quand tu nous tiens⊠Et puis, mĂȘme si elle avait Ă©tĂ© moche, elle ne sâen serait pas souciĂ©e pourquoi faire ? La beautĂ© est volatile, elle sâefface avec les annĂ©es. Mary Jane avait vu des photos de son arriĂšre-grand-mĂšre alors que cette derniĂšre nâavait pas vingt ans une femme magnifique, Ă en faire pleurer de jalousie. Et quâĂ©tait-elle devenue ? Une vieille dame ridĂ©e, au visage marquĂ© par son mauvais caractĂšre. Oui, câest trĂšs bien dâavoir un beau corps, mais ce nâest pas une raison dâĂȘtre fiĂšre quâa-t-on fait pour le mĂ©riter ? Non, elle se fichait dâĂȘtre belle ou pas, puisque cela ne durerait quâune trentaine dâannĂ©es, avec de la chance. Dana pouvait dire ce quâil voulait, elle ne sâen offusquerait pas. De toute façon, elle savait trĂšs bien que le businessman devant elle Ă©tait follement amoureux dâelle et nâattendait que ses dix-sept ans pour lâĂ©pouser. Hahah, rĂȘve Cromwell, rĂȘve. LâidĂ©e dâun Dana mariĂ© lui semblait tout Ă fait impossible. Quelle genre de femme â ou homme, soyons ouvert â accepterait-elle de passer sa vie aux cĂŽtĂ©s dâun tel ĂȘtre ? Une folle, trĂšs certainement. Ou alors une masochiste. Peut-ĂȘtre un mĂ©lange des deux. Hum, Ă©ventuellement pouvait-on trouver ça dans les petites annonces ? Femme cherche mari froid, distant, violent et dĂ©sagrĂ©able. Calme, bonne mĂ©nagĂšre, sait coudre et faire la cuisine. PrĂȘte Ă supporter tous les caprices. » Ăa ne devait pas courir les rues, ce genre de sainte. Et quand bien mĂȘme on trouvait un ange pareil, Van Uta en voudrait-il ? SĂ»rement pas ; il lui semblait ĂȘtre un cĂ©libataire endurci. Difficile de lâimaginer une fille au bras ; ou alors câĂ©tait que la fille en question lâavait Ă©nervĂ© et quâil ne comptait pas la laisser sâen tirer comme tout ça pour dire que Mary Jane dĂ©cocha un sourire radieux Ă lâintention du jeune asiatique, qui lâignora. Hum, oĂč Ă©tait passĂ©e la galanterie prĂ©cĂ©dente ? Aux oubliettes, apparemment. Distraitement, elle retira une grande Ă©charde de ses cheveux, oĂč elle sâĂ©tait emmĂȘlĂ©e, et la jeta au ne fit pas grandement attention Ă la rĂ©action de Dana lorsquâelle lui rĂ©para le bras. Gamine ? Elle Ă©tait une gamine ? La jeune fille fit une moue boudeuse, puis rĂ©flĂ©chit un instant. Divers images lui passĂšrent dans la tĂȘte elle jouant Ă la marelle explosive avec Prue, faisant le cochon-pendu dans le vieux chĂȘne, parlant Ă Jim tandis quâelle se brossait les cheveux ou encore tirant la langue Ă Dieu-sait-qui. Et tout cela dans la mĂȘme annĂ©e, celle-ci. Oui, Ă seize ans, il lui arrivait encore trĂšs frĂ©quemment de se comporter comme une gamine. Dana avait raison. Mais tout de mĂȘme, elle nâĂ©tait pas tellement plus jeune que lui⊠Non ? Dâailleurs, quel Ăąge avait-il ? Aucune idĂ©e. A franchement parler, elle ne savait pratiquement rien sur lâasiatique qui sâĂ©tait approchĂ© de la fenĂȘtre sans plus rien ajouter. Ce nâĂ©tait pas comme sâils Ă©taient tout deux trĂšs bavards sur leurs vies, et sans doute avaient-ils de bonnes raisons de demeurer aussi silencieux. Elle le contempla un instant, mordillant sa lĂšvre infĂ©rieure. Finalement, elle haussa les Ă©paules, peu concernĂ©e par lâindiffĂ©rence du jeune homme. Un Dana content et reconnaissant, ce nâĂ©tait pas le vrai Dana. Ce nâĂ©tait pas comme si elle sâĂ©tait attendue Ă un merciâ, non ; câaurait Ă©tĂ© trop demander. Alors elle sâapprocha Ă©galement de la fenĂȘtre, sây accoudant sans un mot. Elle arriva juste Ă temps pour voir lâhomme Ă balais recevoir les deux Cognards sur son corps, et elle ne put sâempĂȘcher de sourire. Vu dâici, câĂ©tait comique. Bien sĂ»r, ce lâĂ©tait beaucoup moins pour lâhomme concernĂ©, mais Mary Jane ne sâen formalisait pas pour lâinstant. Si, plus tard, elle dĂ©couvrait quâil sâagissait de lâun de ses amis, alors elle sâinquiĂ©terait pour lui. Mais ce nâĂ©tait pas le cas pour lâinstant, et elle prĂ©fĂ©rait assister au spectacle. Dana Mugen Van Uta......BlablaDate d'inscription 23/09/2007Nombre de messages 818Pseudo PoufsouffleSujet Re cromwell ft. dana { Poison Prince Lun 29 DĂ©c - 2239 C'est donc en bonne compagnie que Dana continua d'observer le calvaire des autres rĂ©sidents qui ne s'attendaient certainement pas Ă une attaque de ce genre. Bonne compagnie ? En effet, Mary Jane, malgrĂ© leurs comportements l'un vis Ă vis de l'autre, Ă©tait une personne classĂ© dans "AgrĂ©able Ă vivre...Quand elle ne l'ouvre pas" par Dana. De plus, il Ă©tait vrai qu'il avait remarquĂ© qu'elle Ă©tait mignonne mais ce n'Ă©tait pas du tout son genre de s'arrĂȘter Ă ce genre de dĂ©tail futile et parfaitement inutile...sauf pour les personnes qui n'avaient rien d'autres Ă faire qu'opprimer un ĂȘtre faible juste parce que leur physique n'Ă©tait pas dans les mĆurs du temps. Mugen trouvait tout cela parfaitement stupide. Stupide car il y avait des choses bien plus importante que la beautĂ© dans le monde, mais aussi stupide car il Ă©tait parfaitement conscient que certaines personnes savaient exploiter cette faille de la pensĂ©e commune pour manipuler le plus de personnes possible et pour parvenir Ă leurs fins. Une faiblesse de plus pour le commun des mortels... L'une des personnes qu'il pourrait avoir en tĂȘte en cet instant pour ce type de danger que pouvait reprĂ©senter la beautĂ©, serait sans aucun doute Miss Ashley Sheperd. Ătre dont la beautĂ© et le charme ne laissait pas indiffĂ©rent l'asiatique qui se mĂ©fiait toujours autant de l'ex Serpentarde. Cette beautĂ© dont elle ne se servait pas, pour l'instant mĂ©langĂ© Ă son intelligence pouvait rendre la demoiselle vĂ©ritablement dangereuse. Magnifique mĂ©lange... A cet instant, le Wanderer eut un lĂ©ger frisson et glissa lentement son regard sur la demoiselle Ă ses cĂŽtĂ©s. Mary Jane Ă©tait aussi mignonne et loin d'ĂȘtre conne... LĂ , Dana roula des yeux et vint passer sa main dans ses long cheveux Ă©bĂšnes qui Ă©taient complĂštement emmĂȘlĂ©s. Un lĂ©ger grognement, puis il arrangea sa coiffure en quelques coups de mains et dit enfin"Quelle heure peut il ĂȘtre pour que tu sois debout et qu'il y ait autant de vie en bas ?"Et oui, rappelons qu'Ă la base Dana s'Ă©tait enfermĂ© mais qu'il ne pensait pas que beaucoup de monde devait ĂȘtre debout. Comme Ă son habitude depuis des annĂ©es, il avait Ă©tĂ© plutĂŽt matinal et s'Ă©tait enfermĂ© dans sa bulle. Maintenant qu'il en sortait, c'Ă©tait comme si plein de fourmis grouillaient partout. "Hum?"Alors que cette interrogation Ă©manait de lui, il s'Ă©tait totalement stoppĂ© en observant la jeune fille. Il pencha sa tĂȘte lĂ©gĂšrement sur le cotĂ©, puis il s'approcha de la Veela, pour mettre sa main dans ses cheveux avec douceur. Oui, oui, avec douceur. Comme une caresse, il la laissa glisser le long de la chevelure de la demoiselle lentement, puis elle put sentir qu'il en sortit quelque chose de trĂšs petite taille. Il ne lui laissa pas le temps de parler que d'une pichenette, il lui envoya dans le front le caillou de plĂątre, qui s'ensuivit d'un lĂ©ger sourire. Mais vraiment lĂ©ger. Quasi invisible pour un Ćil non entrainĂ© nouveau,il refit attention au monde extĂ©rieur. Tout semblait plus calme...Tout du moins, les Cognards Ă©taient partis terroriser un autre endroit de Poudlard,laissant en bas de la fenĂȘtre un triste spectacle que Mugen trouvait plus que pitoyable. " Observe comment une action aussi banale que ta venue, pu entrainer une rĂ©action en chaĂźne..."En effet, elle ne serait pas venue, Dana n'aurait pas eu Ă la protĂ©ger. Il n'aurait pas eut Ă la protĂ©ger, donc il n'aurait pas perdu l'usage d'un bras durant un instant. Il n'aurait pas perdu l'usage d'un bras, il n'aurait pas eut Ă agir en urgence et envoyer ses Cognards dehors, et ainsi de suite... Il ne l'accablait pas. Le NĂ©cromancien ne faisait que remarquer un fait qui l'avait toujours fascinĂ© le contrĂŽle. C'Ă©tait probablement la seule chose qu'il ne maitriserait jamais et il en avait conscience. Il pouvait tout prĂ©voir, mais il savait que dans tout ses plans, il y avait toujours ce petit pourcentage de chance que tout lui Ă©chappe Ă cause d'un Ă©vĂšnement infime mais qui pouvait s'avĂ©rer ĂȘtre majeur. L'une des rares choses qui lui provoquait encore des montĂ©es d'adrĂ©nalines. Mary Jane Cromwell......BlablaDate d'inscription 15/06/2008Nombre de messages 526Pseudo 29CrĂ©dit Avatar holdin' out for a hero...Sujet Re cromwell ft. dana { Poison Prince Mar 30 DĂ©c - 1514 Mary Jane resta un long moment silencieuse au cĂŽtĂ© du jeune asiatique. Au travers de la fenĂȘtre brisĂ©e, le vent froid de lâhiver soufflait dans ses cheveux de façon Ă ce quâils balayent doucement ses Ă©paules comme des ailes de corbeaux. MalgrĂ© la tempĂ©rature qui la faisait frissonner Ă chaque fois quâune bourrasque plus forte que les autres venait lui caresser le visage, un grand soleil illuminait ce qui promettait dâĂȘtre une belle journĂ©e. Les yeux de Mary Jane glissait sur le bleu glacĂ© du ciel, se posait un instant sur les sommets enneigĂ©s de la ForĂȘt Interdite avant dâĂȘtre attirĂ©s par lâherbe givrĂ©e du parc â oĂč elle aperçut briĂšvement lâhomme Ă©vanoui que lâon tirait sous un arbre â et la surface congelĂ©e du lac, dĂ©jĂ appropriĂ©e par quelques aventureux adolescents et leurs patins. Elle-mĂȘme dĂ©mangeait dâenvie dâaller faire un tour dessus, mais pas maintenant. Elle prĂ©fĂ©rait attendre dâĂȘtre seule sur la glace, pour avoir toute la libertĂ© de sentir la surface lisse sous les lames de ses patins, pouvoir profiter pleinement de la vitesse et la grĂące qui sâoffrait soudainement Ă elle. CâĂ©tait toujours un moment si beau, si Ă©mouvant quâelle sentit sa gorge se serrer Ă lâavance. Lorsquâelle faisait le premier pas sur la glace, elle avait lâimpression que le monde se figeait autour dâelle, comme si lâhiver avait arrĂȘtĂ© le temps lâespace dâune seconde, pour lui permettre de mesurer pleinement la beautĂ© du monde qui lâentourait. Pendant ce bref instant, il lui semblait quâelle voyait chaque dĂ©tail, chaque goutte congelĂ©e sur le moindre brin dâherbe, chaque aiguille de glace qui pendait des branches des sapins avoisinants. Et alors, elle inspirait le grand air frais de la nature hibernante, formant un nuage de condensation lorsquâelle expirait, avant de se lancer sur la Ă sa rĂȘverie, la jeune fille nâavait quâĂ moitiĂ© entendu la question de Dana. Elle haussa les Ă©paules, dĂ©sinvolte. Quâimportait le lever des habitants du chĂąteau ? Les quelques heures entre lâaube et maintenant Ă©taient les plus belles, justement parce quâil nây avait personne dâautre. Si elle nâavait pas hĂ©ritĂ© de lâinsomnie de sa mĂšre, elle partageait le mĂȘme amour pour les extrĂȘmes de la journĂ©e, câest-Ă -dire lâaurore et le crĂ©puscule. La naissance et la mort dâune journĂ©e, les moments les plus Ă©mouvants. Dire que la majoritĂ© des humains nâassistaient quâĂ son dĂ©cĂšs, quel tristesse. Peu Ă©tonnant quâils soient aussi abattus et sans espoir. Nâavaient-ils donc jamais entendu le fameux proverbe lâavenir appartient Ă ceux qui se lĂšvent tĂŽt » ? Mary Jane gardait dans sa tĂȘte lâintime conviction que la guerre se terminerait Ă lâaube. CâĂ©tait ridicule et trĂšs peu probable, cependant elle ne pouvait sâempĂȘcher de penser ainsi. Elle ne se tourna pas vers le jeune homme lorsquâelle ouvrit la bouche pour lui rĂ©pondre. Hum, sachant que je me suis levĂ©e il y a deux heures, je dirais dix heures environ. MĂȘme les plus paresseux commencent Ă se rĂ©veiller. »Un lĂ©ger humâ de la part de Dana. Mary Jane se tourna vers lui, lâexpression curieuse. Son instinct lui disait quâil nâaccaparait pas son attention pour lui lancer une nouvelle vanne ce qui lui parut Ă©trange. A force de tenir ce genre de combat verbal avec lui Ă longueur de journĂ©e, elle avait lâhabitude de se prĂ©parer Ă lui renvoyer la balle instantanĂ©ment. Mais lĂ , câĂ©tait diffĂ©rent. Oui ? »Dana Ă©tait immobile, face Ă elle, la tĂȘte penchĂ©e comme un enfant inquisiteur devant un nouveau jouet. La louve ne dit plus rien, le fixant dâun air calme, serein. Ridiculement, elle se sentait parfaitement en sĂ©curitĂ© Ă cet instant. Ironique, nâest-ce pas, que lorsquâelle se trouvait dans une salle dĂ©truite avec un homme pourtant peu connu pour son pacifisme, elle ne se sente pas menacĂ©e. Enfin, avec Mary Jane, on devait sâattendre Ă tout â câĂ©tait un pour sur lequel tous Ă©taient dâaccord. On pouvait en dire de mĂȘme pour Dana, dâailleurs â imprĂ©visible. En effet, il venait de glisser sa main dans les longs cheveux de la Veela, aussi doucement que la brise qui les chatouillait quelques secondes auparavant. Prise par surprise, Mary Jane se sentit rougir â trĂšs lĂ©gĂšrement, presque imperceptiblement, mais ses joues prirent une teinte un peu plus rosĂ©e â totalement prise au dĂ©pourvue par cette action. Un instant figĂ©e, de grands yeux levĂ©s vers le visage de Dana, elle ouvrit la bouche pour parler. Mais avant quâelle nâait eu le temps de formuler la premiĂšre syllabe, lâasiatique lui envoya un bout de plĂątre sur le front, suivi dâun mince sourire. Mary Jane fit une lĂ©gĂšre grimace, retroussant son nez comme un chaton dont on a chatouillĂ© le museau avec une plume, puis sourit Ă©galement. Elle passa sa main sur son front pour vĂ©rifier que le bout de plĂątre nây Ă©tait pas collĂ©, avant de se tourner Ă nouveau vers la fenĂȘtre. Le battement dâailes dâun papillon dĂ©clenche une tornade Ă lâautre bout du monde⊠» dit-elle Ă personne en particulier, se souvenant simplement de cette phrase quâon lui avait sorti un jour. Quelque chose Ă propos de la thĂ©orie du chaos, Ă ce quâelle se souvienne. DâaprĂšs ce quâon lui avait dit, lâidĂ©e que sâen faisait la majoritĂ© des gens Ă©tait totalement fausse le papillon ne provoquait pas directement la tornade, mais simplement un autre Ă©vĂ©nement qui lui-mĂȘme Ă©tait responsable dâun autre, et celui-ci Ă©tait Ă©galement la raison dâun autre rĂ©sultat, etc. Ce systĂšme continuait ainsi jusquâĂ ce quâau final, la tempĂȘte se crĂ©e. Et en vĂ©ritĂ©, câĂ©tait exactement ce qui venait de se passer Mary Jane Ă©tait rentrĂ©e dans la salle abandonnĂ©e pour que finalement, aprĂšs diverses pĂ©ripĂ©ties, Dana ait envoyĂ© les deux Cognards qui les menaçaient dans le parc oĂč ils avaient continuĂ© de semer un chaos monstrueux. Si bien quâindirectement, elle se retrouvait responsable de lâhomme inconscient Ă©tendu dans lâherbe, et de toutes les autres victimes de ces deux balles sanglantes. Oui, elle Ă©tait tel lâinnocent papillon, lâune des infinies crĂ©atures responsables de lâouragan dĂ©clenchĂ© devant ses yeux. Peut-ĂȘtre devrait-elle ĂȘtre dĂ©solĂ©e, sentir le remords lâenvahir et sâexcuser, mais pour lâinstant le papillon demeurait immobile, comme figĂ© dans une toile dâaraignĂ©e J'suis dĂ©solĂ©e c'est court, c'est nul mais j'savais plus trop quoi ajouter x Dana Mugen Van Uta......BlablaDate d'inscription 23/09/2007Nombre de messages 818Pseudo PoufsouffleSujet Re cromwell ft. dana { Poison Prince Sam 3 Jan - 1800 Dix heures du matin... MalgrĂ© tout ce qu'elle venait de dire, c'Ă©tait comme si Dana venait juste de rĂ©aliser Ă quel instant de la journĂ©e il se trouvait. Il n'avait encore rien avalĂ© depuis son rĂ©veil, mais bon ce n'Ă©tait pas vraiment un problĂšme pour lui. Il prĂ©fĂ©rait rester postĂ© devant cette fenĂȘtre brisĂ©e Ă observer le cycle de la vie s'effectuer en toute innocence, comme si rien ne pouvait l'atteindre...PrĂ©fĂ©rant oublier que la mort rodait et se faisait de plus en plus proche. Refusant catĂ©goriquement cette Ă©tape qui, pour tout NĂ©cromancien, faisait partie obligatoirement de la vie. C'est d'ailleurs en repensant Ă ce principe basique dans son Ă©ducation, que son regard se fit un brin plus vivant et brillant qu'Ă l'accoutumĂ©e, comme si une Ă©tincelle venait d'y naĂźtre, mais pourtant son visage se fit plus dur et plus lisse. En effet, il Ă©tait Ă©tonnant que les rares magiciens de sa catĂ©gorie n'aient pas encore pointĂ©s le bout de leurs nez, dans cette guerre, et n'avait pas encore semĂ© le chaos pour leurs propres plaisir d'expĂ©rimenter certains sortilĂšges ou les effets de potions ou runes. Les vĂ©ritables Necromanciens Ă©taient de plus en plus rare. Durant la guerre avec Saint Potter, les Necromanciens Ă©taient associĂ©s bien trop souvent aux Mangemorts, alors que la Necromancie et la Magie Noire sont deux domaines diffĂ©rents. Mais devant faire appel Ă certaines forces occultes tabous, ils furent classĂ© parmi les mauvais alors que leurs vĂ©ritables forces restaient quasi- inconnue. Ayant vĂ©cu assez longtemps aux cĂŽtĂ©s de Faust, Dana avait put en cĂŽtoyer un bon paquet, assister Ă leurs rĂ©unions et surtout voir qu'ils n'Ă©taient pas du tout comme le reste du monde des sorciers. Les prĂ©mices de la NĂ©cromancie remontent Ă la dĂ©couverte de l'existence d'une pierre dont tout sorcier qui se respecte a dĂ©jĂ entendu parler la Pierre Philosophale. Ou plutĂŽt Ă la dĂ©couverte d'un fait important liĂ© Ă cette pierre. Certains sorciers et alchimiste prĂ©tendaient qu'il Ă©tait possible de la crĂ©er de toute piĂšce. L'Ă©change Ă©quivalent... En l'Ă©change de milles vies humaines et d'un bon dosage de certains ingrĂ©dients, il Ă©tait possible d'obtenir une Pierre Philosophale. Depuis ce jours, ces quelques "fous" , comme ils furent traitĂ©s, furent persĂ©cutĂ©s et mis en marge de la sociĂ©tĂ©. De lĂ , les sorciers et alchimistes rejetĂ©s dĂ©cidĂšrent de se joindre en une sorte de communautĂ© pour Ă©changer leurs savoir et atteindre "ensemble" leur objectif. Mais Ă la vue de leurs Ă©gos tout autant dĂ©mesurĂ©s les uns que les autres, Dana Ă©tait parfaitement conscient qu'il faisait mieux de ne rien Ă©changer avec eux, mĂȘme si il en faisait partie. Il savait que le plus grand obstacle malgrĂ© les annĂ©es, pour les siens, d'atteindre leur but Ă©tait de pouvoir retirer mille vies en toute impunitĂ©. Le MinistĂšre les gardait Ă l'Ćil, et avait dĂ©jĂ plusieurs fois par le passĂ© pourchassĂ© des NĂ©cromanciens pour les envoyer dans cette ancienne prison qui auparavant Ă©tait connu pour ĂȘtre pire que l'enfer. Une guerre, quatre camps, des milliers de combattants Ă travers le monde, des millions de morts, une trop belle opportunitĂ©. Et pourtant rien ne se passait. Dana ne comprenait pas ce qu'ils attendaient. Il n'Ă©tait pas pressĂ© de voir sa crainte se rĂ©aliser non plus, mais il avait le sentiment qu'il lui manquait quelque chose, un Ă©lĂ©ment qui pouvait l'Ă©clairer sur la situation. A cet instant, il regretta d'avoir refusĂ© toutes les invitations reçues pour des rĂ©unions quelconques ou des soirĂ©es organisĂ©es chez telles ou telles personnes. Son tuteur le lui avait pourtant dit de les garder Ă l'Ćil, vu que la dĂ©sinformation face Ă de pareils sournois, Ă©tait la pire des faiblesses. " Saurais tu te battre contre un adversaire dont tu ne connais rien, pas mĂȘme les sorts et la magie utilisĂ©e ? "Cette question qu'il posa Ă la demoiselle c'Ă©tait en fait Ă©chappĂ©e d'entre ses lĂšvres. Probablement qu'elle ne comprendrait pas. Il Ă©tait aussi possible qu'elle comprenne la question, mais pas la raison pour laquelle il la lui posait. Il savait que mĂȘme lui aurait probablement du mal Ă affronter les vieux NĂ©cromanciens. Certes il n'Ă©tait plus un Ă©lĂšve, il avait eu la chance d'apprendre les prĂ©mices de la NĂ©cromancie grĂące Ă Faust ainsi que la Magie Noire auprĂšs des Mangemorts et de Celui-Dont-On-Ne-Devait-Pas-Dire-Le-Nom trĂšs jeune, ce qui lui confĂ©rait une puissance insoupçonnable, mais il savait aussi qu'il Ă©tait encore trĂšs jeune et novice comparĂ© Ă certaines personnes. A leurs cĂŽtĂ©s, il ne faisait qu'office de bleusaille... LĂ , il leva son bras guĂ©rit par Mary Jane, avec un peu de difficultĂ© car il lui fallait le laisser au repos tout de mĂȘme malgrĂ© les soins, l'arrĂȘta une fois qu'il fut bien droit et ouvrit la main de façon Ă avoir le soleil juste derriĂšre et que les rayons s'immiscent entre chaque doigts. Une brise fraĂźche en profita pour venir se glisser entre, en mĂȘme temps que les rayons de lumiĂšre, puis sans crier gare, Dana fit un demi tour sur lui mĂȘme et alla prendre place sur le coin d'une table qui fut brisĂ© en deux par un Cognard. Cognards auxquels l'asiatique ne pensait plus. Un long moment passa sans qu'il ne dise le moindre mot une nouvelle fois, mais ne quittant pas la jeune demoiselle des yeux. Il en avait profitĂ© pour poser ses pieds sur la surface lisse de la table, et se servait de cette maniĂšre de ses cuisses comme d'un accoudoir alors qu'il avait joint les doigts de ses deux mains, sans pour autant les croiser et poser son nez juste dessus. Depuis, il n'avait plus dit un mot, ni mĂȘme bougĂ© d'un poil. Mary Jane Cromwell......BlablaDate d'inscription 15/06/2008Nombre de messages 526Pseudo 29CrĂ©dit Avatar holdin' out for a hero...Sujet Re cromwell ft. dana { Poison Prince Dim 4 Jan - 2225 On ne sait jamais rien Ă moins dâessayer. »Elizabeth sourit au mur, se rappelant cette phrase quâelle avait tant de fois entendue â gĂ©nĂ©ralement au moment de prĂ©parer le repas. CâĂ©tait sans doute lâexpression favorite de sa mĂšre, Ă lâexception de son LâhumanitĂ© est pourrie jusquâĂ la moelle », quâelle adressait souvent au poste de radio. Elizabeth et Mary Jane Cromwell nâĂ©taient pas connues pour leur foi en lâĂȘtre humain, car elles nâen voyaient que rarement les bons cĂŽtĂ©s. VoilĂ , au fond, ce qui les rendait si sauvages Ă force de voir les hommes se mutiler, sâassassiner dans une boucherie sanglante et interminable, elles ne les laissaient sâapprocher quâavec mĂ©fiance. Hommes, femmes, enfants â tous Ă©taient capables du pire, en vĂ©ritĂ©. Lâinnocence nâĂ©tait que lâignorance, en fin de compte. Ignorer ce qui est bien ou ce qui est mal, câest ne faire aucune diffĂ©rence entre les deux, et donc commettre des actions atroces sans se rendre compte de leur Ă©tendue. Ce qui est sans doute pire, câest dâen avoir conscience et dâagir tout de mĂȘme. Peut-ĂȘtre Ă©tait-ce pourquoi les ignorants-innocents Ă©taient pardonnables, contrairement Ă ceux qui agissaient en sachant faire le mal. Peut-ĂȘtre Ă©tait-ce pour cela que Mary Jane avait rejoint les Veela, et non les Basilisk â elle nâaimait pas faire le mal. Jouer, vivre des aventures, affronter la mort, donner la mort Ă©galement, elle nây voyait aucun problĂšme. Simplement, pourquoi choisir la magie noire lorsque la magie blanche suffisait amplement ? La premiĂšre nâĂ©tait Ă utiliser quâen dernier recours, selon la Cromwell. Si le monde se dĂ©partageait en deux types de sorciers â les sorciers blancs contre les sorciers noirs â alors elle faisait partie des sorciers gris. Ceux qui, pour atteindre leur but, nâhĂ©siteraient pas Ă toucher aux arts louve nâĂ©tait pas sĂ»re dâavoir bien compris ce que lui demandait Dana. Elle avait lâimpression quâil lui proposait une alliance de quelque sorte, mais câĂ©tait peut-ĂȘtre son imagination. Dans tous les cas, elle ne sâengagerait pas avant dâen savoir plus. Elle nâĂ©tait pas stupide, non tournant vers la fenĂȘtre, elle aperçut un enfant qui cueillait des pommes dans le parc. Le reflet du soleil sur ces orbes flamboyantes sur le sol givrĂ© suffit Ă lui donner faim. Accio Pomme. » fit-elle trĂšs simplement, pointant sa baguette de bouleau sur le jeune garçon, qui ouvrit grand la bouche lorsquâil vit sa collation sâenvoler du panier oĂč elle se trouvait. De toute Ă©vidence, il dut pousser un cri, car la jeune fille Ă ses cĂŽtĂ©s se retourna, juste Ă temps pour voir la boule rouge atteindre la hauteur dâune fenĂȘtre. Enfin, Ă cette distance, elle ne pouvait distinguer quâun grain rouge qui disparut soudain, comme happĂ© par un ĂȘtre invisible. Cet ĂȘtre â trĂšs loin dâĂȘtre invisible â rentra sa petite main blanche Ă lâintĂ©rieur, tenant son trophĂ©e prĂ©cieusement entre ses doigts. Elle eut un lĂ©ger rire, un rire de diablotine qui, emportĂ© par le vent, vint rĂ©sonner dans les oreilles des promeneurs du parc. Mary Jane sâĂ©tait avancĂ©e jusquâĂ se trouver devant lâasiatique qui, lui sâĂ©tait dĂ©placĂ© sur une table. Il nâĂ©tait pas rappeler un chat, pensa-t-elle Ă cet instant. Oui, un fĂ©lin â pas un chat de gouttiĂšre, plutĂŽt un couguar, une panthĂšre. Une panthĂšre noire, câĂ©tait cela. Enfin, noire â la panthĂšre noire ne lâa jamais vĂ©ritablement Ă©tĂ©, puisque son pelage comporte des taches plus ou moins foncĂ©es, presque invisibles â mais cela ne dĂ©truisait en rien sa beautĂ©. La panthĂšre Ă©tait un bel animal, aprĂšs tout beaucoup plus quâun simple matou ronronnant, un vulgaire â bien quâadorable â chat apprivoisĂ© qui passait sa journĂ©e Ă dormir sur le canapĂ©. Elle Ă©tait belle, silencieuse, Ă©lĂ©gante mais incroyablement puissante elle nâĂ©tait pas sans rappeler une Ă©norme machine, une mĂ©canique silencieuse mais irrĂ©ductible. Cela lui semblait assez convenable comme reprĂ©sentation â plus fidĂšle quâun cocker, dans tout les cas. Allez savoir pourquoi, mais Mary Jane avait toujours associĂ© des caractĂ©ristiques animales Ă son entourage. Cela lui permettait de les analyser et de saisir leur personnalitĂ© Ă sa guise. Peut-ĂȘtre Ă©tait-ce Ă©galement une façon de voir la bĂȘte en chaque ĂȘtre humain. CâĂ©tait sans doute cela si sa bĂȘte Ă elle Ă©tait davantage libre que celle des humains, elle lui semblait moins monstrueuse sous son apparence velue. MalgrĂ© ses griffes et ses crocs, la Mary Jane des pleines lunes ne ferait pas de mal, contrairement Ă certains humains. Dana, par exemple, Ă©tait sans doute plus dangereux quâelle. La panthĂšre surpasserait la louve ? Qui sait ; cela restait encore Ă dĂ©couvrir. Tout ce que lâon pouvait savoir pour lâinstant, câĂ©tait que la premiĂšre travaillait pour son compte, tandis que la deuxiĂšme â et bien, la deuxiĂšme se laissait embaucher par ceux qui lui plaisaient. Mais si on ignore lâarsenal de ton adversaire, on peut au moins faire le compte du sien. » Et elle mordit dans sa pomme. Contenu sponsorisĂ©......BlablaSujet Re cromwell ft. dana { Poison Prince cromwell ft. dana { Poison Prince Page 1 sur 1Permission de ce forumVous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forumFelix Felicis Administration RPs saison 3
Mon code crĂ©ateur quand vous achetez des Robux/Premium : redkillđ Mon code crĂ©ateur Fortnite/Epic : redkill24Hair Challenge ïž Le jeu :- Android : https:/Pixels Souffrant dâun syndrome gĂ©nĂ©tique rare, moquĂ©e pour son apparence physique, la Texane Lizzie Velasquez sâest Ă©rigĂ©e en porte-voix des jeunes victimes de harcĂšlement en ligne. Les sanglots qui la secouent finissent par lui nouer complĂštement la gorge. Debout au milieu du public du festival South by Southwest, dimanche 15 mars, une femme aux cheveux blancs ne peut retenir ses larmes face Ă celle qui lâa tant inspirĂ©e ». Sur scĂšne, Lizzie Velasquez lui sourit. La sĂ©quence est presque habituelle pour la jeune femme de 27 ans, enfoncĂ©e dans un fauteuil en cuir bien trop large pour elle. Depuis huit ans, Lizzie Ă©cume les festivals et confĂ©rences des Etats-Unis pour partager son histoire et ses conseils pour avoir confiance en soi. Lizzie Velasquez sait de quoi elle parle. Atteinte du syndrome de Marfan, une maladie gĂ©nĂ©tique extrĂȘmement rare, elle possĂšde un physique peu conventionnel 1,60 m pour moins de 30 kilos, un Ă©norme front » comme elle lâadmet elle-mĂȘme, un Ćil droit dĂ©ficient, de maigres membres qui se fatiguent vite⊠la jeunesse de Lizzie Velasquez sâest partagĂ©e entre les dizaines dâopĂ©rations chirurgicales destinĂ©es Ă lui permettre de vivre le plus normalement possible et le regard insistant des autres enfants. Les brimades quâelle essuie rĂ©guliĂšrement dans les cours dâĂ©cole, Lizzie a pourtant trĂšs tĂŽt appris Ă les ignorer. Elle devient cheerleader au collĂšge, parvient Ă se constituer un groupe dâamis fidĂšles et sâappuie sur une famille soudĂ©e. Mais tout bascule en 2007. Alors ĂągĂ©e de 17 ans, Lizzie tombe par hasard sur une vidĂ©o intitulĂ©e La femme la plus laide du monde. Le visage que lâon voit apparaĂźtre quelques secondes Ă lâimage, câest le sien. Si les gens voient ta tĂȘte en public ils vont devenir aveugles » ; mets-toi juste un pistolet sur la tempe et tue-toi » ; brĂ»lez-la ! » Sous la vidĂ©o, des centaines de commentaires dĂ©goulinant de haine font chavirer la vie de la jeune fille dĂ©sormais, elle fera tout pour lutter contre ce fiel dĂ©versĂ© sur Internet, et tout pour inspirer et redonner confiance aux personnes qui, comme elle, ont pu souffrir de ce genre de comportement. Jâai commencĂ© ma chaĂźne Youtube comme une rĂ©ponse directe au harcĂšlement en ligne », explique-t-elle au micro. De vidĂ©o en vidĂ©o, elle parle des petites choses du quotidien, toujours avec humour et une certaine autodĂ©rision. Si je porte des talons en public, je ressemble Ă un faon qui apprend Ă marcher », sâamuse-t-elle par exemple dans une vidĂ©o postĂ©e en fĂ©vrier 2014. Progressivement, elle fĂ©dĂšre autour dâelle une petite communautĂ©. Mais câest vĂ©ritablement en dĂ©cembre 2013 que la machine sâemballe. ConviĂ©e Ă une confĂ©rence TEDx consacrĂ©e aux femmes, Ă Austin sa ville natale, elle fait passer la salle du rire aux larmes en racontant ses premiĂšres expĂ©riences Ă lâĂ©cole, dĂ©livrant un message simple Vous seules dĂ©cidez de ce qui vous dĂ©finit. » Plus de sept millions de vues dix, en comptant la version espagnole et un an et demi plus tard, le discours nâa pas changĂ©, passant mĂȘme des ordinateurs aux Ă©crans de cinĂ©ma. TombĂ©e sous le charme lors de la confĂ©rence, la rĂ©alisatrice Sara Hirsch Bordo a en effet dĂ©cidĂ© de consacrer son premier film Ă la vie de Lizzie. PrĂ©sentĂ© pour la premiĂšre fois cette annĂ©e au South by Southwest, A Brave Heart The Lizzie Velasquez Story a Ă©tĂ© chaudement accueilli par le public du cinĂ©ma Paramount dâAustin. Mais Lizzie Velasquez nâentend pas sâen arrĂȘter lĂ . Jâai racontĂ© mon histoire pendant des annĂ©es », nous confie-t-elle au tĂ©lĂ©phone deux jours plus tard. AprĂšs avoir fait ça pendant huit ans, je suis prĂȘte pour la prochaine Ă©tape je veux pouvoir pouvoir parler au nom de toutes les victimes de harcĂšlement, en ligne et en gĂ©nĂ©ral. » Se considĂ©rant dĂ©sormais comme une militante, la jeune femme tente Ă prĂ©sent de faire voter une nouvelle loi contre le harcĂšlement au Parlement amĂ©ricain. Un combat qui ne fait que commencer, comme en tĂ©moigne une sĂ©quence du documentaire montrant Lizzie arpenter les couloirs du Capitole, faisant en vain du porte-Ă -porte dâun bureau de dĂ©putĂ© Ă un autre. On va continuer Ă faire autant de lobbying que possible », assure-t-elle avec cette conviction dĂ©sarmante dont elle semble ne jamais se dĂ©partir. DĂ©jĂ auteure de trois livres, Lizzie Velasquez songe Ă prĂ©sent se lancer dans une sĂ©rie dâouvrages pour enfants ayant pour personnages principaux des jeunes atteints de handicap. Olivier ClairouinAustin envoyĂ© spĂ©cialLeurscheveux sont les plus beaux du monde. Dans ce village reculĂ© de Chine, les femmes sont rĂ©putĂ©es pour leurs cheveux extrĂȘmement longs, forts et brillants. Et elles ont un secret 100% bio et abordable. Vous avez essayĂ© le miel, les Ćufs, lâhuile dâolive, dâamande, de figues de Barbarie, les produits hors de prix, bio ou faits Les goĂ»ts sont sans doute avant tout les dĂ©goĂ»ts faits dâhorreur ou dâintolĂ©rance viscĂ©rale. » Eh ouais les gars. Commencer un top par une citation de Bourdieu, ça vous en bouche en coin ? Alors je vous conseille absolument Ă©normĂ©ment beaucoup le dernier livre dâAlice Pfeiffer Le goĂ»t du moche toutes les infos Ă retrouver en bas de lâarticle. Journaliste de mode, elle sâinterroge sur ce soi-disant blasphĂšme esthĂ©tique. Le moche ne serait-il pas le nouveau punk ? Puisque tout ce qui est beau, Ă©lĂ©gant et chic est choisi par les classes dominantes, le moche serait alors une manifestation de la contre-culture. VoilĂ pourquoi le moche dâhier sera certainement le beau de demain. Bref, ces considĂ©rations Ă©tant faites, ce livre trĂšs chouette nous a inspirĂ© sur tout ce quâon considĂ©rait horriblement ringard, laid ou kitsch et quâon a finalement adoptĂ©. 1. Les leggings merci Kim Kardashian Certainement une des personnes qui a le plus popularisĂ© cet objet moulax au possible. Globalement, il vous suffit de traĂźner sur le compte insta de Kim K. un petit compte trĂšs confidentiel je vous rassure pour voir que tout ce qui Ă©tait considĂ©rĂ© comme ultra vulgoss il y a quelques annĂ©es est dĂ©sormais adoptĂ© par les meufs dĂšs le plus jeune Ăąge. GENIAL NON ? 3. Les pulls de NoĂ«l Il y a encore quelques annĂ©es, fallait pas compter sur nous pour porter un de ces trucs horribles. DĂ©sormais, chaque annĂ©e câest le concours de qui portera le pull le plus moche, et on le fait avec fiertĂ©. 4. Les bananes Bon lĂ -dessus, je pense tout simplement quâil y a eu un malentendu au dĂ©part. Les bananes câest juste le truc le plus pratique de la terre je ne vois pas Ă quel moment on sâest dit que sous prĂ©texte que câĂ©tait pas trĂšs chic ce serait considĂ©rĂ© comme un objet moche. Regardez-moi ça 5. Les baskets requin Elles font partie des baskets les plus moches de lâhistoire et pourtant elles connaissent un retour de hype peu explicable. Surtout quand on a dĂ©jĂ vu les Dents de la mer. 6. Les K-way flashy tendance lascar Le look racaille de bac Ă sable des annĂ©es 90 est devenu le nouveau cool vestimentaire, on le doit Ă plein de marques qui se sont appropriĂ©s le look street-wear mais genre en plus cher. 7. Les Crocs Les Crocs et les Uggs, je les mets dans le mĂȘme panier. Ces shoes horriblement dĂ©gueu mais divinement confortables sont parvenues Ă trouver leur public malgrĂ© une apparence peu ragoĂ»tante au dĂ©part. 8. Les filtres insta tout claquĂ©s Sortons un peu des fringues parce quâil nây a pas que ça dans la vie. Le moche est partout, mĂȘme dans les filtres foireux dâInstagram quâon a dâabord regardĂ© avec mĂ©pris avant de flancher vers leurs immondes dĂ©formations en se disant KE KAN MEM CĂ TRO RIGOLO KOMAN SA FĂ 1 TETE BIZARR. 9. Tik-Tok Vous vous rappelez quand on jugeait cette application de jeunes au dĂ©but en se disant que quand mĂȘme on y voiyait que de la merde. 11 millions de visiteurs par mois rien quâen France. 10. L'autotune dans la musique On a dâabord haĂŻ ce truc. HaĂŻ au point dâĂ©crire les raisons de cramer lâautotune, câest dire. PopularisĂ© par des Booba et PNL longtemps aprĂšs Cher, lâautotune est maintenant devenu la norme. TrĂšs pratique pour les gens qui ne savent pas chanter mais clairement pas que, vous pouvez faire lâexpĂ©rience avec lâappli Voloco qui transforme votre voix, câest diablement divertissant. 11. LĂ© tĂ©lĂ©rĂ©alitĂ© Je ne pense pas vous apprendre grand chose en vous disant quâen quelques annĂ©es, ce genre tĂ©lĂ©visuel tant mĂ©prisĂ© est pourtant devenu un objet de fascination pour beaucoup. Entre les punchlines de la tĂ©lĂ©rĂ©alitĂ©, les couples mythiques de tĂ©lĂ©rĂ©alitĂ©, les stars des ces Ă©missions sont devenues des figures dâinfluence. 12. Les cheveux dĂ©colorĂ©s Il fut un temps oĂč les cheveux dĂ©colorĂ©s en blond Ă©taient Ă la mode, puis il fut un temps oĂč câest devenu carrĂ©ment cheum, puis il fut un re-temps oĂč lâon a mĂȘme conceptualisĂ© le projet avec la mode du tie & dye. LâidĂ©e de gĂ©nie tu te teins pas vraiment en blond mais juste la moitiĂ© de tes veuch afin de reproduire cet Ă©trange effet de dĂ©coloration sur cheveux qui ont repoussĂ©. 13. La marque Lidl Vous rappelez lâĂ©poque oĂč on allait juste Ă Lidl parce que câĂ©tait pas cher et puis aprĂšs du jour au lendemain on nâa pas trop compris comment ni pourquoi, des gens se sont mis Ă acheter des produits Lidl et Ă les revendre une fortune sur Vinted ? Le monde change trop vite. Tout ça pour vous recommander mille fois ce nouveau livre super chouette et nâoubliez pas ce quâĂ©crivait Umberto Eco dans Histoire de la laideur Ce qui sera apprĂ©ciĂ© comme du grand Art demain pourrait sembler ĂȘtre du faute de goĂ»t aujourdâhui ». Lesfemmes les plus laides du monde La question de la beautĂ© fĂ©minine est de loin l'un des plus pressants. change de mode si vite que parfois les filles ne peuvent pas dĂ©cider de qui Ă naviguer. AprĂšs un autre modĂšle de sĂ©ance photo avec des formes appĂ©tissantes BBW commencent Ă se rĂ©jouir, ne perdez pas espoir de gagner le cĆur des hommes et surpasser
Des goĂ»ts et des couleurs, hein⊠Ăa, ma petite dame, câest bien vrai. Bah non, câest pas vrai. Quand on sâorganise bien et quâon a des intercalaires, on peut tout classer, TOUT CLASSER. 1. Bleu marine Voilà ça se prend pour Corto Maltese, ça entretient son cĂŽtĂ© dark, ça se veut mystĂ©rieux. Mais tâas un pull, câest tout, on sait bien que tâes malade comme un chien en mer. 2. Bleu Bleu comme le ciel. Mais aussi bleu comme la nuit. Mais aussi bleu comme ce truc que jâai sur le bras et dont jâai peur que ce soit une phlĂ©bite. Aimer le bleu, câest vraiment ĂȘtre SM. 3. Noir Oui, le noir est une valeur. Mais est-ce que câest pas bientĂŽt fini dâĂ©taler sa science, lĂ ? Tâas eu combien au bac, en couleurs, pour te la pĂ©ter comme ça ? 4. Rouge Rouge comme le sang et comme ta tĂȘte quand tu es surpris en train de te masturber. Des bons souvenirs, quoi, câest pour ça quâon lâaime bien, le rouge. 5. Turquoise Eau turquoise, CaraĂŻbes, on sâen fout de tes photos de vacances. 6. Blanc Oui, le blanc est une valeur. Moi aussi, jâai des valeurs. 7. Vert bouteille Câest trĂšs joli une collection de bouteilles accumulĂ©es devant la porte parce que personne ne se dĂ©cide Ă les descendre. Câest dâailleurs peut-ĂȘtre pour ça que personne ne se dĂ©cide Ă les descendre. 8. Violet Peut-ĂȘtre la couleur la plus clivante du monde un genre de vaccin pour yeux. 9. Terre de Sienne Tout de suite, ça se la pĂšte, ça mentionne lâair de rien que ça a voyagĂ© en Italie. Mais cette couleur, on la retrouve aussi en France, hein, par exemple quand il pleut dans le jardin. Pas la peine de bouger de chez soi pour faire son malin. 10. Orange Il paraĂźt quâOrange is the new black, mais je vous assure que si on devait se taper des films en orange et blanc, on aurait mal Ă la tĂȘte. 11. ArgentĂ© Le saviez-vous ? Trouver la couleur argentĂ©e sur une palette Photoshop est beaucoup plus dur que dâopĂ©rer un crocodile de ses caries. 12. Gris Il paraĂźt quâil y en a plein de genres. Nuance moi je nâen vois quâune. 13. Vert Vert, lâespoir, tout ça, tout ça, mais aussi la couleur dâun cadavre, par exemple. 14. DorĂ© Câest Julien qui adore cette couleur. 15. Jaune Cot cot cot cot câĂ©tait un poussin. 16. Rose Rose, trop girly le rose, trop joli trop mignon, moi je mets du rose partout, surtout sur le liserĂ© des balles que jâutilise pour exĂ©cuter des enfants. 17. Beige Allez beige de lĂ . La couleur idĂ©ale pour un pantalon de droite ou un intĂ©rieur cuir de Jaguar de droite. 18. Mauve Genre de faux violet qui ressemble Ă du rose, le mauve est la couleur des gens qui nâont pas de goĂ»t. 19. Marron Marron caca, tâas les yeux marron caca, marron caca, marron caca, caca, caca, caca. 20. Caca d'oie Pour aimer cette couleur, il faut ĂȘtre un Ă©gout. Quand il me prend dans ses bras, je vois la vie en caca dâoie ». Cette version nâa pas Ă©tĂ© retenue.